Photo by: desk80 |
De billet en billet, je tenterai de faire l’esquisse de la Chine telle que j'ai pu la rencontrer ; les paysages ainsi que les réalités économiques, sociales et culturelles sont multiples. ShangHai, la moderne, ne peut être comparée avec LiJiang, petite ville au destin touristique, blottie au fond d'une vallée à 2500 mètres d'altitude dans les montagnes du nord du YunNan. Tout comme la région autour de GuiLin qui s'étend dans la plaine humide, parsemée de collines en forme de pain de sucre, ne peut être comparée avec XiaMen et l'île de GuLang Yu, qui avec ses anciennes villas coloniales est devenue un lieu de villégiatures et de plaisirs, prisé de la jeunesse chinoise dès le week-end venu.
J'espère ne pas simplement vous offrir un carnet de voyage, mais également des éléments pour affiner la perception que l'on peut avoir de ce très grand pays et des mutations qui le traversent. Je ne vous demande, amis lecteurs, qu'une chose : accepter que toute tentative pour simplifier le monde est un appauvrissement. Économie, culture, histoire et affinités personnelles sont des données étroitement intriquées. Si l'on souhaite se faire une idée, même vague, mais honnête, de leurs agencements et de leurs interrelations, il faut accepter de regarder le monde dans sa complexité.
Je ne suis pas sociologue,
J'ai une licence de sociologie de l'Université Libre de Bruxelles et une formation de photographe d'avant la photographie numérique. En argentique, je travaillais beaucoup avec des pellicules T-MAX 400 asa ou sur Fuji Velvia, j'en ai gardé le goût pour des images contrastées et saturées. Mais, si l'on était pressé ou si l'on était allergique à l'odeur du révélateur et que la lumière inactinique rouge vous déprimait, il valait mieux changer d'occupation. Aujourd'hui, c'est dans le confort de mon bureau depuis mon ordinateur que je peux vous proposer les images de Chine que je vous invite à découvrir au fil de ce blog.
Côté pratique:
Voyageant léger, j'ai privilégié un matériel simple et pas trop coûteux. Ça fait beaucoup moins mal au cœur et au portefeuille de briser un objo à 200 roros qu'un caillou à 1200 roros.
J'avais donc avec moi, dans un discret un sac d'épaule :
Un « Nikon D7000 » avec un objectif transtandard 18-105.
Un « Nikon S3300 », petit appareil compact et discret.
Un flash « Sigma » 530 DG ST
Un « Gorillapod ».
Un « Netbook Asus » avec un disque dur de 250go, pratique pour décharger les cartes mémoire.
Un cahier « Atoma » et un bic, aussi utile qu’un couteau suisse pour prendre des notes ou pour se faire écrire une adresse en chinois.
Quelques livres à emporter en voyage
et pour compléter le blog :
- Éric Meyer ; Voir la Chine du haute de son cheval ; éd.: de l'Aube ; août 2012.
- Nicolas Zufferey ; La pensée des Chinois ; éd. : Hachette coll. : Marabaout ; septembre 2012
- Vicki Baum ; Shanghaï hôtel ; éd. : Phébus, janvier 1999
Quelques liens internet :
- Le patrimoine mondial de l'UNESCO en Chine : http://whc.unesco.org/fr/etatsparties/cn
- Le Repaire de la Renarde : http://www.repaire-renarde.com/
- Si vous souhaitez voir d'autres aspects de mon travail, je vous invite à visiter mon site personnel : https://sites.google.com/site/pcapoue/
- Les images de mon premier séjour en Chine sont aussi visibles à l'adresse : https://sites.google.com/site/pcapoue/photos/chine
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